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Le royalisme providentialisme a beau tenir une place importante dans ma vie, il ne m'empêche pas de m'interesser à l'histoire connue - et celle plus cachée- de mon pays. L'humour a aussi sa place dans les pages mise en ligne.
Le 21 mai 1880, le député Benjamin Raspail, pourtant de gauche, déposait un projet de loi original:
Il proposait que le 14 juillet de chaque année devienne le jour de commémoration de la mort de Jacques Cathelineau, généralissime des Armées Catholiques et Royales, décédé ce jour de 1793.
Nous lui rendrons hommage jeudi vers 14 h 30 à Saint Florent le Vieil.
Auparavant, nous nous réunirons à 11 H à La Boissière du Doré, Auberge des Brigands * .La journée se déroulera en la compagnie du Veuzou et des Brigands du Bocage. Les interventions religieusement écoutées seront essentiellement dues à monsieur Jean Brochard.
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* Tous renseignements pour participer à cette journée /repas sur le blog ci-dessous
Les royalistes , en général, semblent être inoculés aujourd'hui par le bacillus républicanus Ce n'est pa ségo ou sarko ou d'autres encore c'est Pierre, Jacques, ou Jean voir Hugues....! Notre roi c'est le Christ et personne d'autre; les chefs de file des dynasties en effervescence ne sont que des lieutenant potentiels. Jésus- Christ seul désignera son lieutenant. Ce dernier de nos jours est un homme caché que nul ne connais ou subodore. Ceux qui se montrent ont aujourdhui un rôle ,un seul, valoriser la monarchie dans le christianisme; dans la fidélité à l'Eglise et au Pape quelques soient leurs faiblesses
A propos de la Correspondance Journet-Maritain, volume 6, 1965- 1973,
Èd. Saint-Augustin, Saint- Maurice, janvier 2009, 88.
Article publié le 25 mars 2011
1965 est aussi l’annèe de la dernière session du Concile Vatican II. Dès avant la fin du Concile les deux amis s’accordent pour déplorer une détérioration liturgique, thèologique, spirituelle. Nous allons examiner ces différents domaines. On nous pardonnera de le faire en relevant le plus volontiers des expressions hautes en couleurs, mais qui souvent touchent hÈéas le coeur de la cible. C’est un des intérêts d‘une telle correspondance privée que de révéler l’etat brut des pensées et des réactions dèpourvues de ce minimum de diplomatie auquel oblige en général l’expression publique .
Nous commencerons par la question liturgique, qui revient à diverses reprises. Déjà au printemps 1965, Maritain confesse que son ami est encore plus sévère que [lui] pour la manière dont on bouleverse la liturgie Journet, que Maritain approuve , n ‘arrive pas à trouver belle la Constitution sur la liturgie, qu il juge insuffisante sur l ‘eucharistie et dont il déplore déjà en 1966 le résultat pastoral : les tabernacles devenus gênants, le maître- autel devenu une table protestante, et toujours plus de prÍtres qui ne disent plus la messe quand ils ne peuvent pas concélébrer
Attaché aux concepts rigoureux hérités de saint Thomas, Journet s ‘en prend à plusieurs reprises aux traductions liturgiques : "J‘ai envie de mourir chaque matin quand j ‘entends la totalement, honteusement inepte traduction française autorisée par les Evques français , et il donne l’exemple, dans le Credo, du consubstantialem rendu de manière hérétique par « de même nature que le Pére » ce qui est enseigner le trithéisme , pour ma part j ‘aimerais mieux mourir que de faire sortir de ma bouche ce « de même nature que ».
Maritain de son côté est choqué , nous sommes en mars 1967, par un projet de traduction du Canon de la messe, à propos duquel on l’a consulté : « Voir les Evèques de France trahir le sacré , voir un Èpiscopat organisè presque aussi bien et aussi militairement que le parti communiste le scandalise. Il n ‘hésite pas à parler d’une trahison collective de leur mandat, et son indignation est partagée par Journet. D’ailleurs sur tous ces sujets les deux hommes sont en parfaite communion de pensée. Il y a parfois entre eux, au fil des lettres, de minces divergences, mais c’est toujours à propos de points trés techniques et non fondamentaux, en général de théologie.
Puis vient la nouvelle traduction du Notre Pére, qui entre en usage la nuit pascale 1966. Journet déplore le tutoiement, adopté, observe- t’il , pour s’ajuster à une minorité protestante . Peu de temps aprés, Maritain conteste la liturgie en langue vernaculaire : "Et maintenant, avec cette liturgie en français, le dernier refuge de la beauté ici- bas nous a été oté par l’Eglise. Au fond c ‘ est sans doute mieux comme ça(NDLRB :???) , et ne serait pas si grave s ‘il n ‘y avait en même temps le processus d’apostasie immannente . Nous sommes en plein dans les larmes de la Salette. Dire qu ‘il y a plus de cent ans la Sainte Vierge avait porté le diagnostic".
11.07.2011 Au pays de Sainte Jeanne d’Arc A un peu plus de deux mois du Traditionnel pèlerinage de septembre à Domremy-la-pucelle organisé par la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X. Nous publions un billet spécial « vacances » consacré à Sainte Jeanne d’Arc patronne de la Légitimité.
Pour nos lecteurs en vacances en Lorraine ou simplement de passage, où bien encore pour les Lorrains en quête d’idée (et d’identité), pensez à visiter le musée Jeanne d’Arc situé au 8 rue principale à Domrémy-la-pucelle. Dans quatre salles sont exposées...
Je vous remercie pour l' envoi régulier de la lettre trimestrielle de la Charte de Fontevrault.
Vous savez combien je suis persuadé que la morale et la réflexion catholiques doivent imprégner le gouvernement de la France notamment avec la Doctrine Sociale de l' Eglise... c' est dire que seul le roi légitime peut et doit gouverner la France tant il est Lieutenant de Dieu en France Fille aînée de l' Eglise.
Aussi cette fois-ci, ce n' est point ni la lettre, ni le site internet de la Charte que je vais mettre en cause... mais certainement un de vos correspondants M. G.... qui a diffusé ce matin sur Breizh 2004: " La Charte de Fontevrault réclame une monarchie dont le prétendant serait choisi par Dieu." ce qui reprend très exactement ce que vous m' avez exposé à plusieurs reprises.
Vous savez combien cela me hérisse tant cela relève du blasphème même, voire de l' hérésie.
En effet, Dieu désigne impérativement le roi légitime: en aucun cas, Dieu ne choisirait un prétendant dont la nomination reviendrait de jure à qui que ce soit!
C' est pourquoi Dieu désigne déjà très clairement, comme Il l' a toujours fait depuis plus de 15 siècles,le roi légitime: aujourd' hui Louis le XXe.
Louis le XXe ne prétend à rien: il est le roi de France légitime par la Grâce de Dieu et donc le Lieutenant de Dieu en France Fille aînée de l' Eglise.
Toute autre argumentation relève de la gnose stérile et pis encore de l' hérésie. A l' heure où notre Souverain remet ses troupes en ordre de marche avec une nouvelle organisation dont il a pris la tête, la Charte de Fontevrault s' honererait en se plaçant sous ses ordres.
En UdP,
C.
NDLRB . Ce message était naturellement signé par son auteur
* * *
A ce courriel émouvant par sa sincérité et dont elle remercie son auteur, la Charte de Fontevrault ne peut qu'apporter les réponses suivantes:
La situation est somme toute assez simple :
1- Nous ne sommes plus en Monarchie... et ce point est souvent , étrangement , perdu de vue.
2- Il y a plusieurs prétendants au trône et , circonstance aggravante, chacun s'accorde à penser que c'est son prince qui est le plus légitime
3- Aucun de ceux qui les soutiennentn'accepterait par conséquent que la Couronnese pose sur la tête du Prince qu'ils rejettent
La situation est donc insoluble à vue humaine
- Et puisqu'elle est insoluble à vue humaine, il convient de s'en remettre à Dieu du point de savoirqui doit être Son Lieutenant en terre de France.
- Il faut d'autant plus le faire que nous savons grâce la " triple donation de Jeanne d'Arc" en date du 21 juin 1429 que le royaume de France est le royaume de Jésus-Christ.
Donc
- Confiance en la Providence divine
- Action tous azimuts pour lui faciliter la tâche autant que faire se peut en vivant notre militantisme royaliste en chrétiens.
« Voyez-vous, Mesdames, Messieurs, l’architecture de la chapelle royale de Versailles est faite pour être vue de l’endroit où nous sommes en cette fin d’après-midi, c’est-à-dire la tribune royale… Si nous étions en bas dans la nef, les piliers qui soutiennent le premier étage vous paraîtraient presque trop grands. Ici nous ne courrons pas ce risque, nous sommes, vous êtes, exactement à l’endroit où se tenaient, chaque jour, car le roi de France Louis XIV entendait la messe chaque jour, et un petit nombre de ses familiers. Vous remarquerez aussi… Sur ce notre cicérone s’interrompit un moment
Des colombes encore … On ne peut pas quand même vivre en fermant hermétiquement toutes les portes surtout en ce début de mois de juillet".
En effet , ces deux volatiles venaient de s’envoler depuis la corniche surplombant le maître -autel en direction de la tribune royale, précisément, où nous nous tenions. Ainsi dans cet endroit que le culte divin avait déserté à peu prés complètement depuis que le fils aîné du Sacré-Cœur n’avait pas déféré à la demande du Seigneur de mettre le Sacré-Coeur sur ses drapeaux et dans ses armes
Nous avions quitté la tribune royale et atteint la galerie des glaces et pendant que se déroulait sous nos pas la structure compliquée mais si belle de ces parquets nommés à bon droit, parquets « à la Versailles », je revivais en moi–même la scène pas tout à fait normale quand même que nous venions de vivre. Des colombes, des oiseaux du genre de ceux qui conduisirent à Reims la Sainte ampoule, s’envolant à Versailles du dessus du tabernacle pour voler vers la tribune royale, tribune où pourtant le roi de France ne se tenait pas ... encore.
Et pourtant le message qu’avait transmis le 6 juin 1675, jour de la Fête-Dieu, Marguerite-Marie Alacoque au roi était clair et net :
" Fait savoir au fils aîné de mon Sacré-Cœur (le roi Louis XIV) que, comme sa naissance temporelle a été obtenue par la dévotion aux mérites de ma sainte enfance, de même il obtiendra sa naissance de gloire éternelle par sa consécration à mon Cœur adorable.
Mon Cœur veut régner dans son palais, être peint sur ses étendards et gravé dans ses armes pour les rendre victorieuses de tous ses ennemis et de tous ceux de la sainte Église. Mon Père veut se servir du roi pour l'exécution de son dessein, qui est la construction d'un édifice public où serait placé le tableau de mon Cœur pour y recevoir les hommages de toute la France "
Cet endroit était autrefois une terrasse donnant sur le parc du château avant d’être aujourd’hui une galerie et quelle galerie, d’ailleurs ! donnant aussi sur le soleil couchant. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si la chambre d’apparat du roi est elle aussi du côté où le soleil se couche. L’orientation Est-Ouest de cette partie de l’appartement du roi renforce le parallélisme, entre le roi et le soleil... le roi soleil !
Hé oui, hélas « le roi soleil » alors que le Seigneur lui avait tracé, on l’a vu, un tout autre programme de vie : Comme sa naissance temporelle a été obtenue par la dévotion aux mérites de ma sainte enfance, de même il obtiendra sa naissance de gloire éternelle par sa consécration à mon Cœur adorable.
Le roi Louis XVI, lui, avait bien compris la divine demande se consacrant au Sacré-Cœur en sa prison du temple le … 1792. Et comme il est bien clair que le Seigneur et le roi prenaient cette démarche très au sérieux. Le roi allait signer cette consécration de son sang, quelques jours après, le 21 janvier 1793. Il l’avait d’ailleurs lui-même annoncé : Je ne puis, aujourd’hui, prononcer qu’en secret cet engagement, mais je le signerais de mon sang s’il le fallait »
La première partie de la soirée « privée » que mon épouse avait eu la délicatesse de m’offrir prenait fin ici à l’entrée de la galerie des batailles ? La deuxième allait s’y dérouler avec l’audition des « Quatre saisons « de Vivaldi. Les nombreux passages nostalgiques de cette composition me permirent de poursuivre ma réflexion versaillaise.
Le printemps de la France,c’était la consolidation de la Couronne (Baptême de Clovis 496) jusques et y compris l’arrivée au pouvoir d’un huguenot devenu Henri IV qui se convertit à la religion catholique abjurant ses erreurs de bonne grâce pour pouvoir monter sur le trône (1589) .
L’été de la France royale fut bref (1601-1643) mais magnifique avec le règne de Louis XIII et la consécration de son royaume au Cœur immaculé de Marie. Avec le triomphe de la contre-réforme, la France se couvre à nouveau de prieurés et de monastères où l'on priait ardemment Dieu pour le roi et donc pour la France. Saura t’on jamais combien de nos aïeux durent leur Paradis à cette époque fervente ?
L’été aurait pu être plus long, et, qui sait ? durer peut-être jusqu’à nos jours, inclusivement mais la Consécration officielle demandée au fils de Louis XIII ne vint pas.
L’automne, qui se poursuivit avec ses successeurs, commença avec le « roi soleil », quelle ironie de l’histoire ! même s’il est bien connu que « le soleil d’automne ne rend ni les hommes ni les choses bien bonnes ». Louis XIV, certes, consacra la France à saint Joseph (le 19 mars 1661), c’était une bonne chose même si ce n ‘était pas prioritairement ce que le roi des rois demandait.
Rappelons pourtant que le Père Eudes (1601-1680) fit entrer la dévotion au Sacré-Coeur dans le palais et la famille de Louis XIV par des prédications à la cour de 1671 à 1674. En 1674 Eudes reçoit 14.000 livres du Roi pour la construction à Caen de la première église érigée au Sacré-Coeur, et la fête solennelle du Sacré-Coeur est célébrée à Montmartre le 20 octobre. Sept autres églises sont autorisées par le pape à s’ouvrir et se consacrer au culte du Sacré-Coeur.
« La reine Marie Leckzinska suggère, en 1751, l’adoration perpétuelle du Sacré-Coeur dans le Saint Sacrement. Elle obtient du pape Clément XIII, la fête du Sacré-Coeur dans tous les diocèses de France le 17 juillet 1765. Une lettre de la Mère Marie-Hélène Coing, supérieure de la visitation de Paray-le-Monial, adressée le 17 mars 1744 relance le message de 1689. Louis XV reste sourd au message, mais son fils le dauphin Louis-Ferdinand (1729-1765) fait dédier, dans l’église du Château de Versailles, en 1773, une chapelle au Coeur de Jésus dans la tradition eudiste à laquelle la famille royale participe ».
Quant à l’hiver, la république le porte et le perfectionne de jour en jour , aujourd’hui plus qu’hier mais bien moins que demain, croyez- moi, et ce n’est certes pas « le prince de ce monde » (NDLRB. Satan) qui me contredira.
* * *
Et c’est bien pourquoi il est si important , qu’un jour du début du mois de juillet de l’an de Grâce 2011, deux colombes se soient envolées depuis la corniche surplombant le maître -autel en direction de la tribune royale de la chapelle homonyme offerte à Son Seigneur par le fils aîné du Sacré-Cœur
Certes, de la même façon qu’une hirondelle ne fait pas le printemps, deux colombes ne font pas la Restauration monarchique. Mais si ces colombes en annonçaient d’autres. Si des vols entiers de colombes volaient demain vers le roi à venir. Peut –être alors, celui-ci se montrerait –il en pleine lumière?
Cessons d’être les pigeons de la république, devenons les instruments de paix que symbolisent ces oiseaux dont l’un d’entre eux apportera l'Ampoule contenant le saint Chrême à saint Remy, Privilège qui apparente le baptême de Clovis à celui de Notre-Seigneur sur le Jourdain.
Extrait des "Prophéties de la Fraudais" sur les trois crises en France
Dans le soleil la voix dit :
"(Première crise).Il y a quelques temps, le Seigneur a marqué trois mois de fatals et terribles châtiments. Il abrégera beaucoup...
Le prochain commencement de la mortelle crise révolutionnaire - elle parle comme cela, la voix - ce commencement durera quatre semaines, ni un jour de plus, ni un jour de moins; mais l'étendue en sera immense. Le nombre de ceux appelés meurtriers du peuple, sera d'une immensité inconsevable.
Lors de cette heure terrible, les étrangers, dont le désir est rempli d'une violence qui ne se possède pas, les étrangers seront maîtres en France. Dès la nouvelle du fatal événement, leurs oreilles ne seront pas sourdes.
Pendant cette lutte première, en toute l'étendue de la France, il y aura liberté pour tout. Il n'y aura plus de captifs retenus pour crimes : la liberté sera en toute son étendue.
Un repos fort court suivra cette grande entrée dans le mal qui sera complet, surtout au Centre et dans les environs.
(Deuxième crise).La voix dit :
La seconde et violente crise commencera. La France sera envahie jusqu'au diocèse qui commence la Bretagne. La voix ajoute : le vôtre.
La deuxième cirse mettra le comble à toute chose et, du peuple, n'échappera que celui qui trouvera un refuge obscur.
A cette époque seconde, les hommes du pouvoir, après avoir livré le royaume au sang, s'assembleront dans un lieu de paix et formeront des projets définitifs et décisifs. Ils chercheront un sauveur pour le placer sur le trône de France.
Beaucoup de ces grands commandants du Royaume se retireront dans un coin de la terre de France volée...La voix dit : l'Alsace et la Lorraine". Retirés là, dans le secret, ils disposeront leur roi, celui qui est contre les desseins de la Providence. Ils décideront réellement - et rien ne pourra les en détourner - de faire monter le coupable sur un trône qui ne lui appartiendra jamais. (Il s'agit d'un descendant de Louis-Philippe).
Dans le soleil la voix dit :
La seconde époque dépassera un mois. Elle ira, sans repos ni arrêt de respiration, jusqu'au 37ème ou 45ème jour.
Cette époque deuxième achèvera tout. Il n'y aura de sauvé que ce que Dieu a promis de protéger : les endroits décrits par sa parole et gardés par sa gratuite bonté.
A mesure qu'elle s'étendra en France, la persécution recevra beaucoup d'aide de la part des puissances qui l'environnent, de tous ceux qui ressemblent à ceux qui, en France, livrent tout, sans pitié, au feu et au sang.
Troisième crise.
Pour la longueur de la troisième époque, la voix dit qu'elle n'est pas dans ce passage-ci du soleil...
( 9 mai 1882)Note : Il s'agit de la reconquête de la France par le vrai Roi, reconquête qui durerait sept mois. Les détails seront donnés plus loin. Il semble que la durée des trois crises ne devrait dépasser deux ans.
Samedi 2 juillet 2011, la coordination des Chouans de Bretagne, Vendée, Normandie et Languedoc, a fait une halte-repas à l'abbaye de Blanche-Couronne, après un passage à Savenay à la croix des Vendéens et avant un arrêt au port de Rohars à Bouée, lieu de franchissement des rescapés de la guerre de Vendée en fuite.
Bertrand de La Buharaye est le président de la Coordination des Chouanneries, le Souvenir Chouan de Bretagne présidé par Noël était en charge de l'organisation de la rencontre annuelle.
Voir aussi : Dimanche 3 juillet 2011
EXCLUSIF Souvenir des Chouans de Bretagne: INTERVIEW DE REYNALD SECHER
Dans La Revue de juin, remise aux adhérents samedi lors de la réunion de la Coordination des Chouanneries dont l'organisateur était, pour la deuxième fois le Souvenir Chouan de Bretagne, cette entrevue avec notre conseiller en Histoire:
Docteur Reynald Secher, vous venez de découvrir des documents qui bouleversent l’approche de la Guerre de Vendée et de l’Ouest.
C’est exact. Jusqu’à ma thèse sur le génocide de la Vendée, tout le monde pensait à une simple guerre civile qui commençait en mars 1793 et s’achevait, du moins dans un premier temps, avec le traité de la Jaunaye. Par l’analyse systématique des documents (lois, rapports officiels, ordres donnés, bilans démographiques et immobiliers…) j’en avais déduit que, dès janvier 1794, on avait mis en œuvre une véritable politique d’extermination des Vendéens et d’anéantissement de leurs biens dans le but de parachever le crime. Pour moi, il s’agissait d’un génocide légal, base des génocides du XXe siècle.
"Ces Maires de France qui courtisent l'islamisme".Joachim Véliocas, Editions Tatamis. 2010.
Objet: Une enquête de 270 pages sur les subventions publiques aux islamistes censurée par les médias.
Une enquête, pourtant parue en librairie Fnac, Virgin...) a démontré que des hautes personnalités politiques collaborent avec les Frères Musulmans en France (incarnés par l'UOIF) en leur donnant des terrains publics pour des Grandes mosquées ou subventionnant leurs "associations culturelles"...Ce livre qui est une bombe politique aux effets potentiellement ravageurs pour l'UMP et le PS, a été censuré par les grands médias. En effet, des élus comme Alain Juppé , Jean-Claude Gaudin ou Jean-Marc Ayrault sont gravement mis en cause par la révélation de documents souvent inédits et toujours irréfutables.
Il s'agit du livre "Ces Maires qui courtisent l'islamisme", paru aux éditions Tatamis en octobre 2010, dont aucun journaliste ou "expert" de l'islam n'a pu contester les révélations. La meilleure preuve est sans doute l'absence de procès intenté à son auteur, Joachim Véliocas, pour diffamation par les hommes et formations politiques concernés, accusés ni plus ni moins de collaborer avec l'islamisme.
Des universitaires islamologues, tel le palestinien Sami-Aldeeb (site), considéré comme un des meilleurs spécialistes de la charia, ont félicité l'auteur pour la qualité de son rigoureux travail d'enquête. D'autres universitaires courageux se sont joints à l'auteur pour co-signer un appel à être ferme contre les Frères Musulmans qui ont appellés à conquérir Rome...depuis la France ! L'institut Hannah Arendtde l'université de Dresde, centre de recherche de référence en Allemagne sur l'analyse des totalitarismes, a commandé plusieurs exemplaires de l'ouvrage et va publier un compte rendu dans sa revue...En France, les groupes de presse, tous liés à des intérêts financiers et donc politiques, ont ostracisé sans surprise un livre qui pourrait bousculer les lignes politiques.
L'association Contribuables Associés (140 000 membres), scandalisée, a consacré une page au livre dans son mensuel Le Cri.
Après l'avoir lu cet ouvrage, vous comprendrez comment l' UMP, PS, Modem, PCF sont prêts à brader toutes les valeurs de la république pour tenter d'obtenir les voix musulmanes aux élections. Quitte à financer le diable, en l'occurrence ceux qui se réclament des Frères Musulmans, la plus grande nébuleuse islamiste du monde
...
Après avoir dressé la longue liste des courtisans de l'islamisme, l'auteur s'interroge sur la capacité de nos démocraties modernes à endiguer les totalitarismes
En août 1794, il est appelé à la tête des armées de Brest et de Cherbourg pour pacifier l'Ouest de la France (Vendée et Bretagne). Il rétablit la discipline, adopte une tactique efficace contre la guérilla des Chouans (camps et unités mobiles), et signe le traité de La Jaunaye le 15 février 1795 avec les Vendéens.
Du côté chouan, il signe, sans y croire, les accords de la Mabilais le 20 avril 1795. Mais plusieurs chefs ne les signent pas, l’accord est transgressé puis rompu au bout d’un mois. Hoche est prévenu d’un débarquement à Carnac. il fait repousser les débarquements britanniques (dont celui des émigrés dans la presqu'île de Quiberon, en juillet 1795, et défait les Chouans. Il obtient alors le commandement de toutes les armées de l’Ouest.
Prévoyant une seconde tentative, il dispose des troupes sur la Sèvre nantaise afin d’empêcher une concentration des forces vendéennes, et empêche le débarquement de l’île d'Yeu en s’y présentant avant les Britanniques. Il désarme systématiquement la Vendée : la pression s’effectue par réquisition, et prise d’otages. Son rapport à Paris est approuvé, et il obtient le commandement de l’armée des côtes de l’Océan. Son second Travot capture Charette le 23 mars 1796. Hoche achève alors le désarmement de l’Anjou, et la pacification est officiellement proclamée le 15 juillet.
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Le 16 juillet 1796, un message du Directoire ayant annoncé au Conseil la pacification de la Vendée, les représentants de la nation proclamèrent solennellement, par un décret, que Hoche et son armée avaient bien mérité de la patrie. Malgré tout, Hoche subit deux tentatives d'assassinat : une fois on essaye de l'empoisonner ; peu après, il est assailli, au sortir du théâtre de Rennes, par un individu qui tire contre lui un coup de pistolet, sans l'atteindre".
NB. Le musée Lambinet (54 boulevard de la Reine : 78000 Versailles) propose dans le cadre d'une exposition temporaire qui se termine le 17 juillet 2011 des "parcelles du coeur du Général Lazare Hoche (Versaiiles - 1768; Oberhessen -1797) contenues dans une boîte en cristal".