PEINE DE MORT. 24 mai 2010. Aux Puces de Saint-Ouen ,UN CRIMINEL "JOUE" AVEC LA VIE D'UN POLICIER, MAIS PAS AVEC LA SIENNE. Cette situation n'est pas équilibrée.

      Vers 14 heures aux Puces de Saint-Ouen (93) un homme contrôlé  par trois policiers  a pointé  sur la tempe de l'un d'entre eux un pistolet de 6,35 mm et  a  fait feu à deux reprises . Providentiellement, le  coup n'est pas parti.

   Etant rappelè,  qu'en Droit, la tentative est punie comme le crime,  je serais curieux de savoir si  la position d'hostilité à la peine de mort  de mes  corrrespondants, suite   à la mise  en ligne d'un de mes messages précédents, a évolué.

    Je fais , en tout  cas,  -perfidement - remarquer à Gérard, qu'il n'y a pas , dans ce cas précis, risque d'erreur judiciaire sur la personne . Le malfrat  a été pris sur le fait et a sciemment tenté de tuer un représentant des forces de l'ordre ... et  s'il n'y a pas réussi, il  est certain que ce n'est pas de sa faute.

    Admettons qu'il soit  condamné à 25 ans de prison .. ce qui parait  douteux  ( rappelons  que l'assassinat de trois bébés par leur mère (?) suivie de leur  congélation  n' a valu à leur mère (??) que trois ans de prison effective , il en sortira  en principe au bout de douze ou treize ans de  prison. Si le policier  avait été  tué  dans les circonstances sus- rappelées, au bout de  combien de temps, serait-il sorti de son cercueil ?

                                                                                                   La Boutière.