Le colonel Schmitt, pére de la jeune fille martyrisée , déclare à La Gazette du Val d'Oise :
"Nous sommes inquiets parce que nous savons que les armes ne sont pas égales… L’accusé pourra récuser des jurés, pas nous… L’accusé pourra faire appel du verdict, pas nous… Nous craignons également que son avocat salisse la mémoire d’Anne-Lorraine pour justifier l’injustifiable, excuser l’inexcusable… Nous savons que, quelle que soit la peine prononcée, dans quelques années, un juge d’application des peines, légalement irresponsable, aura la possibilité, dans le secret de son cabinet, en catimini, de défaire ce qu’un jury populaire aura décidé, avec tous les risques que cela comporte… [...] Que les jurés prennent leurs responsabilités! Qu’ils aient en tête le sort de toutes les femmes qui empruntent le RER D et qui pourraient, s’ils ne prononcent pas la peine adéquate, croiser ce cruel individu. Qui oseraient, en conscience, prendre un tel risque?
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Retrouvez aussi
- dans le journal Présent du 4 décembre 2007 le bouleversant article de Jeanne Smits concernant "l'Enciellement " d'Anne - Loraine, fille de France ... article intitulé " Plutôt la mort que la souillure".
- et dans le même journal mais daté cette fois du 5 décembre 2007, sous la plume de jacques Trémolet de Villers les ligne suivantes : A Senlis, dans cette cathédrale royale, en présence d'une foule grave , jeune et recueillie qui débordait sur le parvis et jusque dans les rues avoisinates, l'Eglise en la personne de son Evêque, et la France, en la personne des officiers et du Gouverneur militaire de Paris- la mère et la fille aînée- célébraient l'entrée au Ciel de cette nouvelle soeur de Jeanne (d'Arc) et de Thérése (de Lisieux) ".