Les Manants du roi nous ont habitué – mais on ne s’en lasse pas - à des
analyses politiques d’une grande qualité.
Le débat suivant (I.II.) né au sujet de l’analyse récente rappelée
immédiatement supra de M. Franck Abed* ne déroge pas à assurément pas
à la règle.
*http://fr.metapedia.org/wiki/Franck_Abed
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C’est sur un point non négligeable de ce débat que nous (A.T.) aurons sous
peu à revenir ; celui qui affirme : Les opinions de M. Abed se colorent d'un
providentialisme qui appartient à l’histoire du royalisme non politique, plus
proprement ésotérique.
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Pour l’heure, redonnons les termes du débat.
I. Le compromis nationaliste ou l’erreur doctrinale et tactique de Charles Maurras
Maurras adopta la stratégie du compromis nationaliste, qui consista à cesser toute forme d'action politique lors de la guerre de 1914/1918, afin de soutenir l'armée de la République contre les armées allemandes. A priori, nous pourrions être étonnés de cette prise de position, mais en creusant doctrinalement le sujet, elle apparaît comme très logique de la pensée maurassienne. En effet, celle-ci semble bien définie par ce compromis nationaliste et résume assez bien à elle seule la défaite de ce courant de pensée.
Notre propos sera sûrement assez difficile à comprendre
...
Pour lire en entier l'article dont nous ne donnons ici que des extraits , merci d'activer le lien ci-dessous.
http://www.lesmanantsduroi.com/articles2/article31516.php
Tout sauf un nihilisme! En cela une fidélité sans faille à notre patrie: toujours
le même combat, de Monsieur de Charette à Charles Maurras. La patrie? Rien
de plus concret... nous l'avons sous nos pieds! Qu'elle se nomme "terre",
"royaume" ou "nation"... Réponse de notre ami Maurice Roemerspacher à
Franck Abed auteur de: "Le compromis nationaliste ou l’erreur doctrinale et
tactique de Charles Maurras". Oui, "Mieux vaut une grande querelle que tous les
petits malentendus"...