Le scénario est toujours le même : une femme, place Tahrir, au Caire, vers la fin de l'après-midi, un jour de manifestation. Elle est égyptienne, ou non, voilée, ou pas. Journaliste parfois, souvent militante. Elle se fraie un chemin dans la foule compacte et chamarrée en compagnie de camarades ou de collègues comme elle transportés par la liesse.
Soudain, tout bascule. En quelques secondes, le bain de foule tourne au viol collectif. Les mains d'abord, par dizaines, s'abattent brusquement sur son corps. La femme réalise alors qu'elle est encerclée par des dizaines d'hommes qui la séparent de force de ses compagnons.
Projetée à terre, elle voit ses habits arrachés, sent des doigts s'immiscer en elle malgré ses hurlements de terreur...
Article complet grâce au lien ci-dessous : http://www.lemonde.fr/afrique/article/2012/06/30/egypte-les-viols-et-agressions-de-femmes-se-multiplient-place-tahrir_1727334_3212.html
Un commentaire qu'il convient (sans doute?) de prendre au second degré
Claude DOUCET 30/06/2012 - 15h54
Ce n'est pas grave : c'est le printemps arabe et le surgissement de libertés.
Et au Mali, cette fois, s'agissant de la destruction de mausolées de saints musulmans à Tombouctou :
svecan 30/06/2012 - 16h12
Ce qui est le plus surprenant c'est le silence des autorités musulmanes, religieuses comme laïques, de tous pays à l'égard de ces fous criminels qui se réclament de la religion du Prophète. Quand les musulmans du monde comprendront-ils le mal absolu pour leur leur croyance que représentent les terroristes qui se réclament de l'Islam, que ce soient les fous du nord Mali, ou ceux d'Afghanistan, d'Iran, du Pakistan ou d'ailleurs ? C'est aux musulmans de lutter en 1ere ligne contre leurs ennemis.
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