18 avril 2009
6
18
/04
/avril
/2009
10:09
Le pays légal donne l’impression de voulioir s’asseoir sur la cocote que constitue la divulgation de l'affaire de la vidéo du jeune blanc agressé dans un bus RATP.
Dans un premier temps, l'interview « arrangée » de la victime, qui résumait l'affaire à une histoire de vêtements et de bruits ("La vidéo de mon agression apparaît comme très stéréotypée car, ce soir-là, je suis habillé de façon bourgeoise et je suis face à quatre jeunes qui faisaient beaucoup de bruit.")
Le Figaro prétendait que la victime avait déclaré : "Après [cette interview ], je ne dirai plus rien. Je veux passer à autre chose…"
Comme la stratégie du "circulez y a rien à voir." ne semble pas avoir convaincu grand monde, six jours plus tard, la victime qui voulait pourtant "passer à autre chose"... ce qu' l'on pourrait d'ailleurs facilement comprendre, se rétracterait et aurait décidé spontanément de lancer une procédure de plusieurs années pour "violation du secret de l'enquête". En d’autres termes, la victime demande aujourd’hui à l'institution judiciaire de colmater la fuite.
Source.
Voir aussi sur la même affaire :
On constatera une fois de plus qu’internet vient au renfort de la liberté d’expression, liberté garantie par la déclaration des droits de l’homme et du Citoyen- partie intégrante de la Constituition française actuelle- dont on redonne ici deux articles :
Article 10
Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi.
Article 11
La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme: tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre à l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi.
Dans un premier temps, l'interview « arrangée » de la victime, qui résumait l'affaire à une histoire de vêtements et de bruits ("La vidéo de mon agression apparaît comme très stéréotypée car, ce soir-là, je suis habillé de façon bourgeoise et je suis face à quatre jeunes qui faisaient beaucoup de bruit.")
Le Figaro prétendait que la victime avait déclaré : "Après [cette interview ], je ne dirai plus rien. Je veux passer à autre chose…"
Comme la stratégie du "circulez y a rien à voir." ne semble pas avoir convaincu grand monde, six jours plus tard, la victime qui voulait pourtant "passer à autre chose"... ce qu' l'on pourrait d'ailleurs facilement comprendre, se rétracterait et aurait décidé spontanément de lancer une procédure de plusieurs années pour "violation du secret de l'enquête". En d’autres termes, la victime demande aujourd’hui à l'institution judiciaire de colmater la fuite.
Source.
Voir aussi sur la même affaire :
Article 10
Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi.
Article 11
La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme: tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre à l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi.