Ces chroniques sont placées sous le patronnage et la protection des chroniqueurs d’illustre
mémoire : Villehardouin, Joinville, Froissart, Commines …
Il est rappelé, conformément à ce qui est écrit à la page 34 de ce
blog , page intitulée "Dictionnaire de la Charte de Fontevrault" au mot :
TITULATURES ROYALES
Dans la mesure où la Charte de Fontevrault croit et professe qu’il
n’appartient qu’à Dieu de choisir qui sera Son lieutenant en terre de France, elle est conduite à
donner aux personnesentre lesquelles elle souhaitent qu’un dialogue charitable prospère le titre même que celles
-ci se donnent.
Ceci ne veut naturellement pas dire qu’elle -La Charte – délivre des brevets de
prétendance, ni qu’elle entende arbitrer entre des personnes car rappelons-le ; il n’appartient qu’à Dieu de choisir qui sera Son lieutenant en
terre de France.
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1- COMMUNIQUÉ DU SECRETARIAT DE MGR LE DUC
D'ANJOU
Mgr le duc d’Anjou reçu en audience privée
par
Sa Sainteté le pape Benoît XVI.
Samedi 8 novembre 2008, Mgr le duc d’Anjou, accompagné de son épouse, la princesse
Marie Marguerite et de leur fille, la Princesse Eugènie, ont été reçus en audience privée par Sa Sainteté le pape Benoît XVI.
Au cours de cette audience, le Prince a offert au Saint Père un calice en vermeil
du XVIème siècle à l’effigie de
saint Benoît.
Il s’agissait de la première rencontre privée entre l’aîné des descendants des
rois de France et BenoîtXVI.
Il est à noter que le Prince portait le cordon du Saint-Esprit dont, en
qualité d’aîné des capétiens, il est le grand maîte de l’ordre
Source : Secrétariat de Mgr le duc d’Anjou.
Origine.( avec photo)
http://gazette.uclf.org/gazette117.pdf
2- FAMILLE DE FRANCE - Communiqué du Comte de Paris :
Monseigneur le Comte de Paris
Et
Madame la Duchesse de Montpensier
ont la joie d'annoncer les fiançailles de leur
fils
S.A.R. le Duc de Vendome
avec
Dona Philomena de Tornos y Steinhart
Fait à Paris le 28 novembre
2008.
3- DECES DE SAR CHARLES-EDMOND DE BOURBON LE 21 DECEMBRE 2008 DANS SA 80 ème ANNEE.
La Charte de Fontevrault a reçu par différents canaux l’annonce du décès de Mgr le
prince Charles-Edmond. Cela nous touche d’autant plus que SAR nous avait fait l’honneur , à de très nombreuses reprises, de participer
accompagné de ses fidèles, dont deux ont été placès ultérieurement à notre tête , à nos Rencontres de la Saint Louis le 25 août en
l’abbaye royale de Fontevraud.
Elle place évidemment dans ses prières -et vous demande instamment de faire de même -
le salut de son âme.
La cérémonie religieuse sera célébrée le 30 décembre à 10 H30 en l’église Saint-Nicolas du Chardonnet .
Paris (V e)
Pour toute correspondance :
INSTITUT LOUIS XVII
BP 90968
75829 Paris Cedex 17
4- MESSAGE DE MGR LE DUC D'ANJOU POUR LE 216 e ANNIVERSAIRE DE LA MORT DU ROI LOUIS
XVI.
Mon Cousin [M. le duc de Bauffremont],
Mesdames et Messieurs,
Chers Amis.
Les années passent et ne se ressemblent pas. Certaines sont plus joyeuses que d'autres. Le monde change mais
certaines fidélités demeurent, telles que celle qui nous réunit pour le 216ème anniversaire de la mort du Roi Louis XVI.
Dans l'époque de crise que nous vivons, où beaucoup de fausses certitudes d'hier sont en train d'être remises en
cause, quel beau symbole de voir que nous savons encore nous retrouver autour de valeurs. En effet, au-delà de la personnalité si attachante de Louis XVI, notre premier devoir est un devoir de
mémoire et de fidélité aux valeurs et aux principes incarnés par la royauté française. Telle est aussi la Mission que se donnent toutes les associations, groupes et organismes qui, comme
l'Institut de la Maison de Bourbon se sont voués à cet objectif et que je tiens à remercier pour leur inlassable activité.
Louis XVI par son sacrifice, mais aussi par sa vie qu'il a essayé de consacrer totalement au bonheur de son
peuple reste pour nous tous un exemple. La lecture de son testament à la fois spirituel et politique doit toujours nous servir de méditation.Rappelons nous ses ultimes paroles, invitation à la
bienveillance et au pardon. Par delà la douleur et la solitude qui furent les compagnes de ses derniers jours, il nous a fermement invités, comme son fils à qui il s'adressait, à "oublier toute
haine et tout ressentiment ". Nous devons méditer ses paroles empreintes de respect humain et de tolérance. Dans le monde si dur et souvent si plein de pessimisme dans lequel nous vivons, ce
message nous éclaire et nous renforce.
Il doit nous encourager à conserver les repères que nous ont laissés nos aïeux, repères qui deviennent
si importants au moment où le monde semble en manquer. Notre chance n'est elle pas de posséder une tradition vieille de mille cinq cents ans sur laquelle notre pays est construit ? Tradition qui
s'incarne dans une famille dont j'assume actuellement les devoirs.
Aucun de nous ne sait ce que sera demain, mais nous savons, en revanche, tous que cet avenir sera ce que nous
en ferons, sans place à la fatalité. Il est ce que notre volonté voudra qu'il soit. Tel était bien aussi le message de Louis XVI qui, en dernier ressort, s'en est remis à la France dont il
souhaitait qu'elle retrouve le sens de ses valeurs et de sa tradition.
En ce début d'année, la Princesse Marie Marguerite, notre fille la Princesse Eugénie, et moi-même, nous vous assurons de tous nos
souhaits pour notre Pays, pour vos familles et pour tous les Français éprouvés en grand nombre par les temps instables que nous traversons.
Que tous les saints de France, que saint Louis, continuent à protéger la France afin qu'elle demeure la grande et
puissante nation édifiée par la sagesse et la patience des Capétiens.
Louis de Bourbon, Duc d'Anjou ; le 18 janvier 2009
5- Message de Mgr le duc d'Anjou pour le 20ème anniversaire du décès du Prince Alphonse, son père, le 30 janvier 1989.
Chers amis,
Nous célébrons le vingtième anniversaire de la mort de mon regretté père le Prince Alphonse, duc d'Anjou et de Cadix.
Pour un adolescent, heurté par le départ prématuré de son père, c'est un moment difficile. En vingt ans, il faut se relever, se construire malgré tout, se préserver et
penser à l'avenir.
Vingt ans, c'est aussi un laps de temps, une période courte sur une vie, voire sur une filiation. Vingt ans, enfin c'est le temps des réflexions.
Je suis très touché par cette assistance nombreuse qui est aujourd'hui réunie. La mémoire ne trahit pas l'image de mon père, sa gentillesse et son attention aux autres, mais aussi son engagement
en particulier au moment du millénaire capétien en faveur de la Légitimité dont il était le dépositaire.
Maintenant, c'est à mon tour d'être. Comme le disait mon père, je ne prétends à rien, je suis le chef de la maison de Bourbon en tant qu'aîné des Capétiens et des descendants
de nos rois. Même si la France a changé, le contexte économique et politique modifié, j'assume la mission que m'a transmise mon père à sa mort. La même que reçurent mon père, mon grand père, mes
aïeux... Mon grand regret est de n'avoir pas pu recevoir tout ce qu'un père peut donner à son fils. Aujourd'hui, c'est à mon tour de transmettre, transmettre comme père, comme aîné, comme homme.
Il faut être patient car le temps aide à se construire, mais aussi à construire. Le temps, c'est celui que Dieu donne à l'homme pour avancer.
Je tiens à remercier toutes celles et tous ceux qui aujourd'hui sont nourris par une vision d'avenir, celle-là même qui a déjà bâti la France millénaire, et je leur dis d'avoir
confiance. La France et le monde vivent en ce moment des temps difficiles où les fausses certitudes d'hier sont remises en cause, où tout chancelle faute de socle solide. Notre premier devoir est
un devoir de mémoire et de fidélité aux valeurs et aux principes incarnés par la royauté française. Aucun de nous ne peut connaître de quoi sera fait demain, en revanche, chacun peut aider par
son attitude personnelle et familiale, sa démarche professionnelle, mais aussi sa prière à construire notre avenir commun.
La France a élevé en son sein de grandes figures que l'Église a fait accéder à la sainteté et en particulier saint Louis. Prions-les pour notre avenir, pour celui de la
France !
Louis, duc d'Anjou
Source : Secrétariat de Monseigneur le duc d'Anjou
6- Communiqué de "Gens de France" : mariage de S.A.R. le duc de Vendôme et de Mademoiselle Philomena de Tornos
Nous sommes en mesure d'annoncer que la messe de mariage de S.A.R. le duc de Vendôme et de Mademoiselle Philomena de Tornos sera célébrée le samedi 2 mai 2009, le matin, dans
la cathédrale Notre-Dame de Senlis, dans l'Oise.
Elle sera suivie d'une réception qui se tiendra l'après-midi dans le domaine de Chantilly.
Source. http://www.gensdefrance.com/gdefrance1/
7- Communiqué du Groupement Universitaire pour l'Etude des Institutions Publiques de la Monarchie
Française.
Quelques journaux ont publié l’annonce du mariage à
Senlis, le 2 mai 2009, du « duc de Vendôme », fils du « comte de Paris» et de son épouse légitime (et séparée) la digne « duchesse de Montpensier »,née Marie Thérèse de Wurtemberg, avec
Mademoiselle Philomena de Tornos. Cette cérémonie appelle plusieurs commentaires.
Tout d'abord le Groupement présente ses voeux de bonheur aux jeunes
mariés. Quelle que soient les querelles dynastiques dont il va être parlé, ils ne doivent pas occulter l’apparition d’un nouveau foyer chrétien et rattaché à la famille des rois de France. L'on
ajoutera que le jeune prince a, dit-on, de la qualité, et que son attitude générale ne suscite pas les mêmes critiques que celles de son grand-père, prétendant perpétuel et mêlé à diverses
intrigues politiques (affaire Darlan, positions pendant la guerre d'Algérie) ou de son père (divorcé remarié et initié à la franc-maçonnerie).
Le jeune foyer a déjà rempli les formalités civiles le 19
mars 2009. Le maire d’arrondissement parisien qui y a présidé était Madame Rachida Dati, édile « issu de l’immigration », ce qui a pu surprendre les disciples de Charles
Maurras.
Il est nécessaire, dès lors que des informations inexactes quant à
l’aspect dynastique circulent dans la presse (notamment Point de Vue, magazine devenu « people »), de rappeler que le marié appartient à une branche cadette des Capétiens, la famille
d'Orléans, et qu'il est de ce fait très loin du trône de Saint Louis si l'on s'en tient aux règles qui étaient appliquées au temps de la monarchie légitime. En effet, comme l'enseignent
les spécialistes d'histoire du droit dans les facultés de la République, la couronne royale de France se transmettait de mâle en mâle par ordre de primogéniture. Aucune renonciation ou
abdication n'était admise : le roi de France étant fait par Dieu, aucun homme ne pouvait modifier l'ordre de succession. En outre, l'on ne tenait aucun compte de la nationalité des
princes, dès lors qu'ils étaient de sang capétien (ainsi Henri IV, avant d'accéder au trône de France, était-il roi de Navarre).
La branche d’Orléans est cadette par rapport aux nombreux princes
issus de Louis XIV par son petit-fils Philippe V d'Espagne (ex - duc d'Anjou). En application de ces principes, l'héritier légitime du droit de ceindre la couronne est donc l'aîné généalogique
de tous les Capétiens actuels, Mgr Louis de Bourbon, duc d'Anjou (« Louis XX »). C’est lui, et non son lointain parent, Henri d’Orléans (dit « comte de Paris « et «duc de
France »), père du prince Jean, qui peut être tenu pour l’héritier des anciens rois. Si Henri d-Orléans peut revendiquer une couronne, c'est celle de son ancêtre Louis-Philippe, fils du
régicide Philippe Egalité, devenu en 1830 « roi des Français » par usurpation commise au détriment de son cousin Charles X.
L'on peut encore remarquer que Jean d' Orléans est le
deuxième des fils survivants du « comte de Paris. » En effet, son frère aîné, François, est gravement handicapé. Il y a donc discussion chez les partisans de la branche cadette pour savoir si
l'on peut faire passer la couronne sur une tête. Le « comte de Paris » a d’ailleurs naguère défendu les « droits » de son fils aîné en estimant que l'incapacité ne doit pas entrer en
ligne de compte.
L'on ne mentionnera que pour mémoire des titulatures princières
discutables. A notre époque, les princes portent des titres qui, à la différence des titres de noblesse (toujours reconnus par l’Etat) ne reposent pas sur des actes juridiques officiels.
Si l’on considère que l'aînesse appartient au duc d'Anjou, les appellations des princes cadets, à commencer par « comte de Paris « et «duc de France », sont toutes irrégulières ou,
si l'on aime mieux, « de création orléaniste. »
L'on ajoutera -- mais ce sera sans doute l'objet d'un
autre communiqué -- que le « comte de Paris » aurait obtenu une déclaration de nullité de son mariage religieux avec la duchesse de Montpensier, dont il a eu cinq enfants, et qu'il songerait à
convoler légitimement avec sa compagne actuelle, Micaela Maria Cousino y Quinones de Leon, épouse divorcée Bœuf. Cette décision canonique, qui n’a pas manqué de surprendre, permet d'attendre un
nouveau mariage dans la maison d'Orléans qui paraît décidément entrée dans une phase heureuse. Notre Groupement ne manquera pas de saluer comme il le mérite cet événement très
attendu.
Fait à Paris, le 29 avril 2009.
Franck BOUSCAU, Professeur des Facultés de
Droit
Président du Groupement Universitaire pour
l'Etude des Institutions Publiques de la Monarchie Française.
Le "Groupement universitaire pour l'étude des institutions publiques de la
Monarchie française" est une association apolitique qui regroupe, autour de l'objet défini par son intitulé, et dans une perspective scientifique, des universitaires, Professeurs et Maîtres de
Conférences des Universités, notamment des Facultés de Droit ou des Lettres, ainsi que des historiens, des juristes, des étudiants et des personnes intéressées par l'histoire des
Institutions.
Source
.
Prof. Franck Bouscau.
4O, Square Montsouris.
75014- Paris.
8 - Communiqué du Groupement Universitaire pour l'Etude des Institutions
Publiques de la Monarchie Française. ( Mariage religieux d'Henri
d'Orléans, « comte de Paris », et de sa compagne, Micaela Cousino Quinones de Leon)
Le
Groupement a appris le mariage religieux d'Henri d'Orléans, « comte de Paris », et de sa compagne depuis plus de trente ans, Micaela Cousino Quinones de Leon, à Arcangues
(Pyrénées-Atlantiques), le 26 septembre 2009. Plusieurs remarques d'ordre juridique méritent d'être faites à cette occasion.
1- L’on ne s’attardera pas ici sur la question des titulatures, et l’on se bornera sur ce point à rappeler que les appellations de création
orléaniste (« comte de Paris ») sont sans valeur par rapport à la royauté traditionnelle, faute de reconnaissance par le chef de la branche
aînée.
2- La décision de la Rote romaine, tribunal papal, qui a constaté la nullité du
précédent mariage du « comte de Paris » avec Marie Thérèse de Wurtemberg n'a pas été publiée, mais divers éléments ont filtré (notamment dans l'hebdomadaire «people » Point de
Vue, nº 3193, semaine du 30 septembre au 6 octobre 2009, auquel le « comte de Paris » lui- même a donné quelques précisions). Selon l’intéressé, son avocat a fondé la demande de nullité sur son
« immaturité » au moment du mariage et sur des pressions dont il aurait été l’objet. A ce propos l’on a parlé de son père, qui aurait exercé des « pressions inconscientes » (sic), voire du
général De Gaulle...
La notion d’immaturité (Nouveau Code de Droit Canonique, canon 1095) - déjà invoquée à propos d’une princesse monégasque - aboutirait-elle à adoucir la rigueur de
l’indissolubilité du mariage catholique ? En réalité, cette notion imprécise (et peu flatteuse au demeurant) peut déstabiliser bien des unions princières, et même des mariages de
particuliers.
Il n’est pas sans intérêt de noter que le pape Benoît XVI a critiqué, devant les magistrats de la Rote, le 29 janvier 2009, « la multiplication exagérée et presque
automatique des déclarations de nullité, en cas d’échec du mariage, sous le prétexte d’une quelconque
immaturité ou faiblesse psychologique du contractant. » Le cas sous examen illustre le fait que la remarque du Souverain Pontife risque de rester lettre morte s’il n’y a pas une réforme du
droit canonique sur ce point afin d’obliger les juges à plus de rigueur dans l'appréciation des nullités.
Enfin, tout en étant conscient du fait qu'il n'est pas nécessaire d’être marié pour procréer, l'on peut partager la réaction du bon sens populaire qui est surpris du
fait que le « comte de Paris » ne se soit aperçu de la prétendue nullité de son mariage qu'après cinq naissances !
3- Du côté de l’épouse, il n’y avait pas de difficulté d‘ordre canonique. En effet, Micaela Cousino Quinones de Leon avait déjà convolé, mais son
union avec un sieur Jean Bœuf, toujours en vie, avait été purement civile, et dissoute par divorce.
4- L’on peut encore trouver étrange – et de nature à susciter des remarques critiques pour l’Eglise qui ne montre pas toujours autant de mansuétude -
la solennité relative du remariage d’un père de famille dont la précédente union a été annulée, et d’une divorcée.
5- Aucun des enfants du « comte de Paris » n’a assisté au remariage. Le prince Jean, fils du « comte de Paris », aurait même eu des mots sévères pour
cette cérémonie « qui ridiculise notre famille et l’Eglise », et parlé de « rupture définitive » avec son père (Point de Vue, nº 3194, semaine du 7 au 13 octobre 2009). Par rétorsion, le «
comte de Paris » a alors écrit : « En réponse aux absurdités de mon fils, le Prince Jean…je crois utile de lui rappeler que si j’avais voulu maintenir strictement les lois dynastiques en usage
dans notre Famille Royale, Jean ne serait alors, et à ma disparition, que le tuteur de son frère aîné, François, le véritable dauphin, hélas handicapé. »
L’on est surpris d’apprendre que le « comte de Paris » considère qu’il a pu se dispenser de maintenir strictement les lois dynastiques, lesquelles sont intangibles…Mais
il y a plus important : le « comte de Paris » est en effet sur la bonne voie quand il rappelle le principe
d’indisponibilité de la couronne. Faut-il espérer qu’il ira au bout de ce qu’implique son raisonnement et qu’il reconnaîtra la nullité des renonciations d’Utrecht et les droits de
l’aîné
salique, Louis , duc d’Anjou, de droit Louis XX ?
Fait à Paris, le 22 octobre 2009.
Franck BOUSCAU
Professeur des Facultés de Droit
9- Communiqué de "Gens de France". Naissance du prince Gaston de France.
La nouvelle vient d’être officiellement confirmée :
"Le prince Jean et la princesse Philomena ont la joie de vous annoncer la naissance, ce 19 novembre 2009, à Paris, de Son Altesse Royale le prince Gaston de
France."
Origine
;
http://www.gensdefrance.com/gdefrance1/
10- Communiqué de Mgr le duc d'Anjou; naissances attendues dans la famille royale.
Monseigneur Louis de Bourbon, duc d'Anjou, chef de la Maison de Bourbon, est heureux d'annoncer que son épouse, la duchesse d'Anjou, et lui-même
attendent la naissance de jumeaux pour le printemps prochain
Mariés, depuis le 6 novembre 2004, Mgr Louis de Bourbon, duc
d'Anjou, aîné des Capétiens, et son épouse la princesse Marie Marguerite sont déjà les heureux parents de S.A.R. la princesse Eugénie de Bourbon, née le 5 mars 2007.
Le couple princier a fait savoir qu'il attendra la naissance pour connaître
le sexe des enfants.
La naissance de ces jumeaux prévue en 2010 coïncidera avec la commémoration
du 400 ème anniversaire de la mémoire du roi Henri IV dont le duc d’Anjou est l’aîné des descendants directs.
Paris, le 25 novembre 2009
Source : Secrétariat de Mgr le duc d'Anjou
Origine.
http://arlv.over-blog.com/
11.Communiqué
de Mgr le duc d'Anjou du 8 novembre 2010 .Naissance de l'Institut Duc d'Anjou (IDA).
Le communiqué qui suit est consécutif à la publication de l'information suivante :
Monseigneur le Prince Louis de BOURBON, duc d'Anjou, informe qu'il a démissionné de la présidence d'honneur de l'Institut de la Maison
de Bourbon et a retiré définitivement son haut patronage de cette association.
http://charte.de.fontevrault.over-blog.com/article-legitimisme-maison-de-bourbon-sar-mgr-le-prince-louis-de-bourbon-duc-d-anjou-retire-son-patronnage-a-l-imb-et-fonde-l-ida-institut-du-duc-d-anjou-63486550.html
Chers
amis,
Les temps changent, les hommes aussi. Mais il reste des causes immuables ; celle que j'incarne en est l'exemple
vivant.
Certains ont peut-être eu le sentiment que la légitimité n'avait plus de chef. Ils se trompaient. J'ai
toujours été présent, conscient des responsabilités revenant au chef de maison que je suis, dans la droite ligne des préceptes que mon père m'a transmis, des principes et des valeurs qu'il n'a eu
de cesse de m'inculquer et que je saurai, à mon tour, léguer à mes enfants, conscient des devoirs qui m'incombent. Devoirs que je remplirai avec l'énergie que m'inspirent notre histoire commune
et la force que je puise dans les exemples de mes illustres ancêtres.
Aujourd'hui est un jour nouveau. Ce 8 novembre 2010 marque en effet la création officielle de l'Institut
duc d'Anjou que j'ai l'honneur de présider, soutenu par une équipe de fidèles. Ainsi qu'il est énoncé dans ses statuts, cette association sans but lucratif ni politique a vocation à regrouper
tous ceux qui poursuivent le même objet et a pour objectifs :
- le développement de la connaissance de l'histoire de la Maison de Bourbon et de l'Histoire de France.
- le soutien au Chef de la Maison de Bourbon dans ses entreprises sociales, culturelles, caritatives, patrimoniales,
commémoratives et historiques
- la permanence et l'approfondissement de la mémoire due à la famille qui a présidé aux destinées de la France tant en
France qu'à l'étranger
- les encouragements apportés à des institutions à caractère social, éducatif et culturel pour des aides
diverses.
Ce site est en construction. Il sera bientôt opérationnel et nous permettra d'entrer en contact avec tous
ceux - nombreux, j'en suis convaincu - qui voudront nous rejoindre au service d'une même cause. Restons à l'écoute et au service de l'Histoire, pour mieux comprendre le présent et préparer
l'avenir.
12. Le message de
Noël 2010 de S.A.R. le prince Jean de France
Chères amies, chers amis de "Gens de France",
La princesse Philomena et le prince Gaston se joignent à moi pour souhaiter à chacun et
chacune d'entre vous de fêter la Nativité la joie au cœur. En France et ailleurs dans le monde, nombreux sont ceux qui traversent de graves difficultés ou même subissent de lourdes épreuves. En
cette nuit de grâce, sentons-nous profondément proches et solidaires les uns des autres – et entretenons la plus capétienne des vertus : l'espérance !
Joyeux Noël à tous et toutes !
Origine.